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La Découverte |
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C'est en 1492, sur un îlot des Bahamas, que Christophe Colomb toucha la terre d'Amérique pour la première fois. Un voyage qui fut celui de la reconnaissance, qui permit à l'Europe de découvrir un nouveau monde qui ne demandait qu'à être conquis. C'est ce à quoi s'attelèrent les Espagnols, mettant rapidement en place une véritable organisation de pillage. Des Caraïbes, tout d'abord, puis du Mexique et du Pérou, s'accaparant des richesses invraisemblables au nez et à la barbe des autres nations européennes. La course était lancée. ...suite... |
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La Course |
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Avec la Route des Indes menant aux Caraïbes et la Route des Épices ouverte bientôt par Vasco de Gama du côté asiatique, le monde se partageait alors entre Espagnols et Portugais. Le premier à réagir à ce partage du monde qui excluait les non-ibères avec l'aval du pape, fut François Ier. C'est lui qui inaugura la grande chasse aux Espagnols, en accordant à ses mercenaires le droit de mettre la main sur les biens des nations ennemies, moyennant commission au passage. Les Français se lancèrent donc à l'assaut. ...suite... |
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La Flibuste |
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Depuis la découverte de Colomb, une véritable faune de marins et d'aventuriers n'ayant pas froid aux yeux se retrouvèrent dans les Caraïbes. Se fixant en communautés, ils intégrèrent des colons appauvris et toutes sortes de marginaux, qui mirent en place une économie de contrebande basée sur les produits volés aux Espagnols. Rejoints par les huguenots, les réformés hollandais puis les britanniques, ces hommes constituèrent la flibuste, une piraterie soutenue par les nations européennes voulant s'implanter dans la région. ...suite... |
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La Piraterie |
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Concentrés sur quelques îles totalement en leurs mains, les flibustiers constituèrent rapidement une force incontrôlable dans la région. Pour les nations européennes qui commençaient à normaliser leur économie locale, ces alliés d'hier devinrent bien trop encombrants. On leur donna donc la chasse et les forbans n'eurent bientôt plus que le choix d'abandonner le métier ou de voguer sous d'autres cieux. Devenus de simples pirates, ceux qui refusèrent de rendre les armes firent alors route sur l'océan Indien. ...suite... |
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